FATSHI et FAYULU se moquent-ils des congolais?

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FAYULU RÊVE AUSSI D’UN TRANSFERT PACIFIQUE DU POUVOIR EN 2028. Il hallucine. En attendant, l’argent n’a pas d’odeur même si, selon lui, ça vient d’une main sale. Sa patience sera dorée et récompensée (2025-2028): 3 ans de jouissance en vue! Sourions seulement!

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Dynamique Budimbu  · 2d  · 

Enfin, “la main sale tendue” depuis le printemps 2019 vient d’être saisie pour un repositionnement politique, au vu des enjeux majeurs en cours dans les hautes sphères et cercles de décision.

“Rien ne sert à courir, il faut partir à point”, avons-nous appris.

Monsieur Martin Fayulu Madidi n’avait désormais plus d’autre choix que de serrer la main du Président de la République, Excellence Félix-Antoine Tshisekedi, dans un geste d’apaisement et de reconnaissance de l’évolution du contexte politique. Les accolades échangées symbolisent la trêve d’une longue lutte, au cours de laquelle ses discours, bien que soutenus, n’ont pas toujours produit l’effet escompté auprès d’une population en quête de résultats tangibles.

Ce rapprochement inattendu survient dans un contexte international où la RDC devient l’objet d’un intérêt renouvelé, notamment des États-Unis, sous l’impulsion d’un DEAL stratégique entre Washington et Kinshasa.

À l’horizon de ce partenariat, sous les auspices de l’administration Trump, se dessine une volonté manifeste de mettre fin à l’agression que subit la RDC depuis presque 30 ans, alimentée par les convoitises de certains pays de la sous-région et la complicité silencieuse de puissances occidentales avides de nos minerais non sans traîtrises internes de certains de nos compatriotes corrompus, cupides, assoiffés des raccourcis du pouvoir.

Dans ce contexte, les acteurs politiques lucides reconnaissent aujourd’hui en FATSHI, non plus un simple chef d’État, mais un atout stratégique et un visionnaire incontestable, désormais coopté depuis le Bureau ovale et soutenu au sein du Sénat républicain des États-Unis, dans le cadre des réajustements géopolitiques mondiaux.

Car, dans la guerre douce que se livrent les États-Unis, la Chine, la Russie, l’Union Européenne et les autres pays des BRICS, la RDC ne peut plus rester une simple victime passive. Elle est désormais une nation choisie. C’est une opportunité historique que nous devons saisir pleinement.

Un retour en force sur la scène internationale manifeste. Oui, ce retour en force de la RDC sur la scène mondiale se traduit concrètement. Lundi 2 juin 2025, à New York, la République Démocratique du Congo a été élue vice-présidente de la 80e session de l’Assemblée générale de l’ONU, qui s’ouvrira le 9 septembre 2025. Le lendemain, mardi 3 juin, la RDC a été élue membre non permanent du Conseil de sécurité des Nations Unies pour le mandat 2026–2027.

Ce double succès diplomatique replace notre pays au cœur des décisions mondiales, non plus comme plaignante, mais comme actrice influente de son destin, au service de son peuple.

Par ailleurs, Inga 3 : L’ambition énergétique se concrétise. Le même 3 juin 2025, le Conseil des administrateurs de la Banque mondiale a approuvé un crédit de 250 millions de dollars financé par l’Association internationale de développement (IDA), première phase du programme de développement d’Inga 3, un projet énergétique phare de la RDC estimé à un milliard de dollars.

Cette phase initiale se concentrera sur les opportunités de développement local dans le Kongo Central, pour environ 100 communautés représentant 1,2 million de personnes. Il s’agira de fournir :

Des infrastructures rurales et routes entretenues, des emplois locaux, grâce à des programmes de formation et un accès facilité à l’enseignement supérieur.

Il ne s’agit donc pas seulement d’un projet énergétique, mais d’un levier de transformation sociale et économique durable, au service du peuple congolais.

Ces avancées montrent que l’influence politique du Président Félix-Antoine Tshisekedi tend systématiquement à l’amélioration des conditions de vie des Congolais. Les voyages diplomatiques naguère moqués produisent aujourd’hui des résultats concrets, tant sur le plan international que local.

Rester figé dans une opposition stérile, au mépris des intérêts supérieurs de la Nation, serait une erreur stratégique majeure. L’heure est à l’unité, à la lucidité, et à l’action constructive. “Un camp de la Partie”, dit M. FAYULU. Dialogue interne ? Oui, mais dans le cadre institutionnel, selon la Constitution en son article 69 qui donne des prérogatives au Chef de l’État ayant la légitimité et non au tandem CENCO/ECC. La RDC ne peut rester dans des schémas qui ne produisent rien.

Ensemble, construisons notre pays. La RDC n’est plus spectatrice du monde, elle en est un acteur stratégique. Grâce à une diplomatie offensive et une gouvernance tournée vers le développement, les perspectives de transformation sont réelles.

À nous d’en faire une réussite collective.

Ensemble, construisons notre pays !

Par 𝐒𝐚𝐢𝐧𝐭-𝐅𝐥𝐨𝐫𝐞𝐧𝐭 𝐍𝐙𝐀𝐌𝐁𝐈𝐋𝐀,

𝗖𝗼𝗼𝗿𝗱𝗼𝗻𝗻𝗮𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗗𝘆𝗻𝗮𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗕𝘂𝗱𝗶𝗺𝗯𝘂 (SOURCE: https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=pfbid023Fs1jciLhpSqRzUgw4gkaABfHKBavEGLDjS9sKWfJCiveD7MChfVoGnSxLikpf1dl&id=61556487385526)

Images: https://www.facebook.com/photo.php?fbid=3917652135125449&set=p.3917652135125449&type=3

FAYULU RÊVE AUSSI D’UN TRANSFERT PACIFIQUE DU POUVOIR EN 2028. En attendant, l’argent n’a pas d’odeur même si, selon lui, ça vient d’une main sale. Sa patience sera dorée et récompensée (2025-2028): 3 ans de jouissance en vue! Sourions seulement


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